Un bel avenir pour le gaz naturel ?
Depuis les crises pétrolières des années 1970, le gaz naturel est devenu une ressource capitale en France et dans le monde. Et demain ?
Lire la suitePublié le 25 March 2015
Actuellement en discussion au Sénat, le « projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte » vise à réduire la facture d’énergie de la France et à lutter plus efficacement contre les émissions de gaz à effet de serre. Pour y parvenir quatre grandes priorités ont été décrites : la rénovation thermique des bâtiments, le développement des transports propres, la valorisation des énergies renouvelables et la promotion de l’économie circulaire. Dans ce dispositif, le gaz naturel a un rôle crucial à jouer.
Les avantages du gaz ne sont plus à démontrer. Il est parmi les énergies les plus compétitives, à la fois efficace et simple à utiliser. Les progrès technologiques de la filière gaz ont conduit à des gains de performance notables, notamment avec les chaudières à condensation. Eni propose en outre une gamme d’offres suffisamment large pour que chaque client trouve celle qui correspond le mieux à ses besoins. Et même une version « écologique » avec la possibilité de compenser les émissions de CO2 liées à la consommation de gaz.
Si on vante l’énergie gaz pour son usage domestique, son rôle dans le secteur des transports, premier émetteur de gaz à effet de serre, est tout aussi estimable. Le projet de loi encourage l’essor des transports propres, notamment pour les flottes de voitures des collectivités, des loueurs et les compagnies de taxis. Le GNV (Gaz Naturel Véhicule) est un carburant qui produit 15 % de gaz à effet de serre de moins que l’essence. Il répond à une large gamme de besoins, du véhicule particulier à l'utilitaire en passant par les bus et les bennes à ordures ménagères. Le véhicule de demain jouera aussi sur l'hybridation pour bénéficier du meilleur de chaque énergie.
Mais l'énergie gaz, stockable et donc toujours disponible, est aussi indispensable à l’essor des énergies renouvelables intermittentes dont le gouvernement veut accroître la production à 32 % de notre consommation énergétique finale en 2030, contre 13 % aujourd’hui.
On le voit, le gaz a vocation à concourir à atteindre les objectifs de la transition énergétique : diviser par quatre nos émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050* : le fameux « facteur 4 ».
Pour en savoir plus, rendez-vous sur fr.eni.com ou appelez nos conseillers au 32 94 (du lundi au vendredi de 9 h à 19 h).
*par rapport à 1990.
Source :
https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/loi-transition-energetique-croissance-verte
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